Un micro à 100dB de plage dynamique ?

Microphone

Cela fait un certain temps déjà que nous nous intéressions à ce maillon de la chaine du son et, fort des sollicitations de plus en plus pressentes des studios, il est temps de dévoiler notre solution.

L’étude de la quantification de bruit global d’un système amplifié par cascade de quadripôle a montré la quasi équivalence en valeur avec le facteur de bruit du premier étage (Dans la mesure ou son gain est grand devant 1). C’est la raison pour laquelle le microphone est la pièce maitresse dans les chainons d’un système d’acquisition de studio, loin devant le préamplificateur et le convertisseur analogique vers numérique.

Encore une fois, il semble que cette technologie n’ait pas du tout évoluée ces dernières décennies et que, clairement, le microphone le plus évolué du commerce n’est qu’un clone de ce qui a servi de prise de son lors des missions Apollo, le transistor ayant simplement remplacé le tube… 76dB de rapport signal sur bruit c’est ce que l’on peut espérer de mieux, ce qui représente un vrai casse-tête pour les ingénieurs du son qui désirent proposer un résultat absent de bruit de fond, ne serait-ce que pour le format 16 bits. Il est donc impossible d’enregistrer une grande masse orchestrale en utilisant une simple paire de microphones en coïncidence tel que le proposait Alan Blumlein en 1938, seule méthode valable pour capter l’espace sonore. Ils font donc systématiquement appel à des microphones de proximité supplémentaires et travaillant en mastering pour essayer de redonner de la cohérence spatiale avec un résultat relativement inconstant malgré tout.

Or, l’étude du bruit en électronique nous à apporté beaucoup au cours des dernières années, un facteur que nous considérons comme fondamental chez Helixir. L’art et la manière de ne pas confondre le signal audio avec le bruit Flicker (Fort bruit à très basse fréquence résultant de la rotation de la planète sur elle même et de son déplacement orbital ; un son sourd que vous entendez en vous bouchant les oreilles) lorsque les fréquences tendent vers zéro. De même, il faut également préserver l’importance de ce signal audio sur le reste du spectre, afin qu’il soit très grand devant le bruit électronique du cheminement des électrons dans les matières qu’ils traversent, ou si vous préférez, comment ils vont « glisser silencieusement à travers celles-ci ».

Vous avez été nombreux à partager vos témoignages à l’écoute de nos produits avec une note unanime sur le rendu du grave et nous vous en remercions. Cette énergie, sa richesse en détails et cette sensation de chaleur qui en découle donnent une toute autre valeur à l’ensemble du message musical. Beaucoup appréhendaient aussi les bandes passantes très élevées de nos électroniques et ont finalement apprécié les finesses harmoniques ainsi que la douceur et l’extrême transparence de restitution.

Vous l’aurez compris, notre fer de lance est l’innovation. Révolutionner les concepts et proposer des électroniques de tout premier ordre, sans commune mesure avec les appareils existant sur le marché, tel est notre objectif.

Je laisse le soin à Stéphane d’exposer ses expériences avec ce microphone dans une prochaine news ; en attendant et pour vous tenir en haleine, voici quelques données préliminaires :

Type : Stéréo Blumlein 0 à 90 degrés
Taille Capsules Électrostatiques : 32 mm
Alimentation de Polarisation : Harmonique 10MHz sous 200 Volts DC
Rapport Signal sur Bruit : Mieux que 100dB / 117dB ( Pondéré A )
Bande Passante : 0,1 Hz à 200 KHz
Contrôle de volume : Technologie DCSP à calibrage laser
Niveau de sortie : 2 Volts efficaces

Votre dévoué
Christian CATAURO

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